Le vendredi 13 novembre, c'était pourtant la journée de la gentillesse.
Des monstres ont attendu la nuit pour la noyer dans le sang. Ils ont pris pour cible un mode de vie et visé des lieux de divertissement, terrasses de café, salle de spectacle, stade.
Le quartier de mon enfance, que l'on qualifie souvent de populaire, a été profondément touché dans sa belle diversité, dans ce qu'il a de plus vivant, sa jeunesse.
Irrépressible dégoût envers les bourreaux, immense chagrin pour les victimes et leurs proches, tristesse infinie devant cette barbarie indigne de l'humanité.
Humble hommage à Maxime, Romain qui étaient au
Bataclan ce soir là et que mes enfants connaissaient et à tous les autres...
samedi 14 novembre 2015
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Même si les mots sont bien faibles face à l’horrible, partager la douleur, partager l’émotion nous protège d’être aveuglé par la peur, nous aide à rester debout. Ça fait du bien de l’écrire, ça fait du bien de le lire. Merci.
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