Etre confronté à toute cette violence aveugle, à ces
carnages à répétition, finit par paralyser les doigts qui courraient sur le
clavier. A quoi bon énumérer ici, semaine après semaine, l’horreur des
attentats.
Gorge sèche et regard vide, il n’y a plus de mots puisqu’il
manque l’insouciance.
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