vendredi 5 novembre 2010

Au jardin du souvenir...

Pendant ces longs mois j’ai cru qu’il était possible de me préparer à ton départ.
Ces dernières semaines j’ai cru pouvoir trouver le courage de te dire que je l’acceptais et que tu pouvais partir tranquille pour ce voyage sans retour en solitaire…

Le moment est venu, le jeudi 28 octobre, et je n’étais pas prête. Toujours trop brutale cette absence qui va s’éterniser. Toujours trop tôt, trop douloureux l’instant de la séparation.
Tu évoquais confusément un sombre et long tunnel obstrué ! Tu as trouvé la sortie…
Sur la pelouse fleurie du jardin du souvenir, repose-toi bien maintenant mon petit Papa. Le merle viendra en sautillant, sifflera et te tiendra compagnie.

2 commentaires:

  1. un petit mot doux pour ton Papa, j'ai pensé au mien, merci

    RépondreSupprimer
  2. Un mois déjà qu’il est parti… Le temps fait lentement son œuvre d’anesthésiste mais n’efface pas le souvenir… Tu le sais bien Brigitte que les Mamans et les Papas disparus gardent pour toujours une place dans notre cœur. Que tu partages avec moi cet émouvant sentiment m’apporte un réconfort précieux. Merci à toi

    RépondreSupprimer